"Phénicie antique" - Source d'eau. Localisation de la Phénicie. Création de la Phénicie. Combien de lettres y a-t-il dans l’alphabet phénicien ? Pourquoi les commerçants phéniciens avaient-ils besoin d’écrire ? Occupations des Phéniciens. Développement des Phéniciens. Icône de lettre phénicienne. Alphabet phénicien. ABC. Manque d'écriture phénicienne. Système d'écriture.

"Caractéristiques des États de l'Orient ancien" - Chaîne. Des biens vivants. Peuples de l'Orient ancien. Uruk. Respect des aînés. Confucius. États de l'Orient ancien. Dictée historique. Inde. L'âge de fer. Les brahmanes correspondent au blanc. Hérodote. Avec quoi les anciens habitants de l’Inde traitaient-ils les serpents ? Phénicie. Hindoustan. Fleuve Euphrate. La plus haute vertu. Mésopotamie. Les prisonniers.

«Pays de l'Orient ancien» - 3. Egypte. Devinez la date : associez des personnages et des pays historiques. 2. Chine. Personnages historiques : personnages historiques et pays. L'Orient ancien. Dictée historique. Les navigateurs et inventeurs les plus célèbres de l’alphabet ancien étaient les Sumériens. Jeu "Roue de l'Histoire". Réponses correctes au test « Pays ».

"L'art de la Mésopotamie" - L'architecture de la Mésopotamie, en raison des guerres constantes, était l'architecture des forteresses. Projet créatif. District administratif du Sud de Chertanovo, établissement d'enseignement central de l'État, école secondaire n° 858. « Mésopotamie » signifie « Terre entre les fleuves » (entre l'Euphrate et le Tigre). Ziggourat du Dieu Lune Nanna à Ur. Art de Mésopotamie.

« Mésopotamie antique » - Distribution pour les travaux gouvernementaux - « rations ». Éridu. Pharaon égyptien antique. Le monde antique et l'Orient antique. Centre de négoce de métaux. Mésopotamie. IV – III millénaire avant JC e. –Déversements fluviaux et bassins de « stockage » – Egypte. Création de l'Ancien Testament. IV millénaire avant JC e. - Sumer. 3. Mésopotamie. Royaume néo-assyrien (X – VIIe siècle avant JC) – Tig-latpalasar III (VIIIe siècle avant JC) – florissant.

« Royaume babylonien » - L'artisanat se développe. Les esclaves étaient vendus, échangés, offerts en cadeau et transmis par héritage. Conquêtes de Babylone. Esclavage. Après 9 ans, les Assyriens commencèrent à restaurer Babylone. Jardins suspendus avant... Nabuchodonosor II fit des campagnes en Syrie, en Phénicie et en Palestine. Babylone antique. Babylone antique. Babylonie antique.

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Description de la présentation Présentation HISTOIRE DE L'ÉTAT ET DU DROIT DE L'ANCIENNE BABYLONE sur slides

Écritures grecques ; livres religieux juifs; documents et monuments de la culture matérielle obtenus à la suite de fouilles. Le pilier de basalte noir avec les articles du Code (ou Code des lois) d'Hammourabi est d'une grande importance.

L'apogée de Babylone est la période du règne d'Hammourabi (6ème roi de la première dynastie babylonienne). Hammourabi régna 43 ans. Il mène des réformes administratives et judiciaires et crée un appareil gouvernemental centralisé. Le résultat de ses activités législatives fut la publication du Code des lois, qui toucha presque toutes les branches du droit. Son apparition a été dictée par les éléments suivants : premièrement, la nécessité de rationaliser les relations après l'unification des différents peuples sous la domination de Babylone ; deuxièmement, le désir d'atténuer les contradictions aggravées entre les peuples libres.

En publiant le Code de loi, Hammourabi poursuit les objectifs suivants : atténuer la gravité de la situation ; arrêter le processus d'appauvrissement des paysans ; freiner les appétits des prêteurs ; renforcer la société babylonienne ; adoucir l’arbitraire et éliminer la corruption qui règne dans les tribunaux.

La PREMIÈRE caractéristique de la société babylonienne antique est la préservation à long terme de vestiges importants du système communautaire primitif. LA DEUXIÈME est que l’ancienne société de classes babylonienne s’est formée en raison de la nécessité d’utiliser largement la main-d’œuvre esclave pour la construction de structures d’irrigation. Cette société de classes était précoce et a pris forme alors que les phénomènes de matriarcat n’étaient pas encore complètement éliminés et que la propriété privée n’était pas encore développée. Par conséquent, même avec la formation d’une société de classes, la propriété communautaire des terres et des esclaves demeure. C'est la TROISIÈME fonctionnalité. Les conditions climatiques à Babylone étaient telles qu'elles nécessitaient une irrigation artificielle, ce qui conduisait à la préservation à long terme de la propriété communautaire et étatique des terres, ainsi qu'à la préservation à long terme de la propriété collective (État, temple, commune) des esclaves.

Qui habitait l’ancienne société babylonienne ? La population entière est « avilum » (« homme », « fils d'un homme libre »). Au sommet de cette couche se trouvaient le souverain avec sa cour et les plus hauts fonctionnaires du temple. Avilums : une catégorie à part entière de la population, le groupe économiquement le plus fort, se situait aux échelons supérieurs de l'échelle sociale, jouissait du plein statut de liberté, avait le droit de posséder des terres communales et des parcelles officielles, d'occuper des postes dans la vie locale et l'appareil d'État central, étaient hétérogènes dans leur statut de propriété et étaient divisés en classes au statut social et patrimonial inégal de propriétaires d'esclaves et de petits producteurs.

La deuxième catégorie de la population libre est celle des « muscenums » (traduit par « attaquant du front », « courbé ») : personne subordonnée et dépendante, il s'agit d'une population militaire de statut juridique inférieur, issue de nouveaux arrivants et de colons ultérieurs qui l'ont fait. n'avaient pas de racines communautaires, les locataires des terres royales et du temple n'avaient pas leurs propres terres et perdaient le contact avec la communauté, avaient des droits civils limités, pouvaient avoir des biens et même des esclaves, mais étaient considérés comme des personnes de seconde zone, car ils devaient dans une certaine mesure incomplète et dépendante.

Dans l'ancienne Babylone, outre les muscenums, ceux qui étaient au service militaire et ceux qui payaient des impôts recevaient également des terres royales en guise d'attribution. Les terres qu'ils cultivaient étaient inaliénables et ne pouvaient faire l'objet de garanties.

À Babylone, les paysans communaux, menant une agriculture indépendante et n’exploitant pas le travail des autres, constituaient la partie la plus importante et la plus importante de la population en termes de leur rôle dans la production sociale (le travail des esclaves ne prédominait dans aucune branche de l’activité professionnelle).

Des esclaves. Sources de l'esclavage : captivité militaire, pauvreté et dette de citoyens à part entière qui ont été privés des moyens de production, en particulier de la terre, en guise de punition pour des crimes ou de caution pour un criminel jouissant de la liberté personnelle, la vente en esclavage était possible dans les cas suivants cas : 1. si l'adopté a abandonné ses parents adoptifs ; 2. si la femme était malhonnête et mal gérée ; 3. si les enfants manquaient de respect à leur mère, etc., naissance de parents esclaves, c'est-à-dire reproduction naturelle d'esclaves. Le travail des esclaves a été utilisé, mais il n’est devenu la forme prédominante dans aucune branche de production.

Système politique. "Le pouvoir royal vient des divinités suprêmes, et la terre et le peuple sont donnés au roi pour la gestion des dieux suprêmes." Tsar : jouissait de pouvoirs législatifs illimités et dirigeait un vaste appareil administratif. (L'appareil administratif était un appareil bureaucratique centralisé, nommé par les autorités tsaristes et responsable devant elles). L'appareil bureaucratique se composait de trois parties : l'armée ; service financier et fiscal (impôts en espèces et en nature) ; département judiciaire.

Le pouvoir royal à Babylone ne peut pas être qualifié de despotique, car : les traditions d'autonomie communale n'avaient pas encore été éliminées localement ; les grandes villes (Babylone, Nippour, Sippar, etc.) conservaient également un statut juridique spécial. leurs habitants pouvaient être exemptés des devoirs de travail, militaires et autres, les fonctionnaires royaux n'avaient pas le droit d'arrêter les habitants de ces villes, les grandes églises avaient également une indépendance économique importante, la personnalité du souverain suprême n'était pas divinisée, bien que le sceau de la grâce divine l'élevait au-dessus de tous les autres peuples, le roi n'avait pas le statut de grand prêtre, les pouvoirs judiciaires du roi étaient limités - il n'était ni la plus haute autorité d'appel ni la plus haute autorité de cassation ; on peut parler du caractère héréditaire de le pouvoir des rois babyloniens sous certaines réserves : lors du transfert du pouvoir royal à l'un des héritiers, le dernier mot appartenait aux prêtres-oracles.

Contrôle local. Le pays était divisé en régions dirigées par un dirigeant local, le vice-roi du roi (shakkanakum). Leurs responsabilités comprenaient : l'entretien des ouvrages d'irrigation et le creusement de nouveaux canaux, le contrôle de la collecte des impôts et leur envoi au roi, la perception des taxes auprès des marchands, l'exercice des fonctions de police pour maintenir l'ordre public, le commandement de détachements de soldats et la collecte de milices militaires.

Pour surveiller les activités des dirigeants locaux, des messagers étaient envoyés dans les localités, dotés de pouvoirs illimités par le roi. On connaît également des fonctionnaires qui dirigeaient des unités territoriales plus petites. Il s'agissait de communautés dirigées par un rabianum. Il a dirigé le conseil communautaire. La responsabilité du Conseil communautaire comprenait : la gestion des terres communales indivises ; résolution des conflits fonciers; les litiges liés à l'utilisation de l'eau ; perception des impôts; exercer des fonctions judiciaires, en particulier maintenir l'ordre judiciaire.

Armée. Elle exerçait non seulement des fonctions professionnelles, mais également des fonctions de police pour assurer l'ordre. Dans les anciens États orientaux, le pouvoir judiciaire n’était pas séparé du pouvoir administratif. Le roi et les fonctionnaires royaux étaient simultanément chargés des affaires administratives et judiciaires. Le plus haut juge était le roi, il était la plus haute autorité chargée d'examiner les affaires civiles et pénales. Le roi jouissait du droit de gracier les criminels. Dans les grandes villes, les fonctions judiciaires étaient exercées par des « juges royaux » spéciaux ; ils rendaient compte directement au roi et agissaient conformément à ses instructions. Des tribunaux du temple avaient également lieu, mais leurs fonctions étaient limitées : ils faisaient prêter serment aux parties et en étaient témoins. On suppose qu'ils ont également examiné des cas dans lesquels les prêtres étaient parties.

Droite. La plus ancienne source du droit est la coutume. Au départ, les règles de droit n’étaient pas écrites. Mais à côté de la coutume, une autre source du droit apparaît très tôt : la loi. Système Sudebnik. les cinq premiers articles sont consacrés au tribunal et au processus judiciaire (1-5) ; les articles régissant les droits de propriété, y compris la protection de la propriété, les méthodes d'acquisition et la plupart des obligations contractuelles (6-126) ; la troisième section contient les règles relatives au mariage, à la famille et à l'héritage (articles 127 à 195) ; suivies des règles de droit consacrées aux crimes (196-214) ; puis on parle de la réglementation du travail, de l'établissement de la rémunération et de la responsabilité d'un médecin, d'un vétérinaire, d'un constructeur, des articles sur la location de biens meubles, sur l'embauche personnelle, ainsi que sur les infractions dans ce domaine (215-282).

Statut juridique de certaines catégories de la population. Les principales catégories de personnes libres étaient les avilums et les muscenums. Conclusions : les avilums et les muscenums avaient tous deux le droit de propriété sur les esclaves, ils appartenaient donc tous deux à la classe des propriétaires d'esclaves ; des peines plus sévères étaient instituées si la victime était un avilum ; le muscenum payait moins que l'avilum pour le traitement, et en cas de divorce, la moitié des frais de divorce que l'avilum ; la propriété du muscenum était défendue plus énergiquement (dans certains articles la propriété du muscenum est assimilée à la propriété du palais et des temples) ; dans le cas d'un mariage entre des esclaves de Mushkenum et une femme libre, les enfants issus d'un tel mariage étaient considérés comme libres. Nous assistons ici à une violation des intérêts du muscenum, qui a perdu le droit à la progéniture.

Parmi les propriétaires d'esclaves, le Sudebnik identifie les tamkars - prêteurs et commerçants babyloniens. Des documents indiquent leur rôle important dans les transactions monétaires et commerciales. Les prêtres ont un grand poids dans l'État, puisque les temples possèdent d'énormes richesses (ils possédaient des bâtiments, des champs, des greniers). Ils organisaient des ateliers d'artisanat et employaient un grand nombre d'esclaves. Les esclaves – vardum – étaient la propriété de leur maître. Ils pourraient être vendus, donnés ou hérités. Cependant, les esclaves avaient le droit de posséder des biens et d'effectuer des transactions liées à ces biens. Après son décès, il est passé à son propriétaire.

La possession. Dans l’ancienne Babylone, les terres appartenaient à l’État, aux temples et aux communautés. La propriété foncière était également fréquente. Les transactions liées à la vente de terrains étaient connues avant même le Code de loi d'Hammourabi. Les terres communautaires ont été divisées en parcelles et transférées à l'usage des membres de la communauté. Ils n'avaient pas le droit de les aliéner et de les transmettre par héritage. Dans de rares cas, la vente de terres était encore autorisée, mais cela n'était possible qu'avec le consentement de la communauté. La propriété communale des terres est restée longtemps. Cela était dû en grande partie à la nécessité d’une utilisation commune et organisée de l’eau pour l’irrigation.

Droit des obligations. Il était assez développé, ce qui est à son tour associé au fort développement des relations marchandise-argent. Pour conclure des contrats, il fallait une forme simple - écrite (c'était obligatoire dans certains cas) ou orale. Dans certains cas, le serment et la présence de témoins étaient nécessaires (par exemple lors de l'achat d'un esclave). Le Code de droit d'Hammourabi mentionne les contrats suivants : achat et vente ; troc; propriété et location personnelle; prêt; stockage; Partenariat.

Le CONTRAT D'ACHAT ET DE VENTE n'établissait aucune obligation des parties. Il enregistrait simplement la volonté des parties concernant le transfert de propriété de la chose. Les objets d'achat et de vente comprennent à la fois les biens meubles (céréales, animaux, esclaves) et les biens immobiliers - champs, jardins, maisons. Pour la validité du contrat d'achat et de vente, trois conditions devaient être remplies : premièrement, les biens aliénés ne devaient pas être retirés de la circulation (par exemple, le roi pouvait à tout moment retirer un terrain des mains d'un militaire). ); deuxièmement, le vendeur doit être le véritable propriétaire de l'objet (par exemple, dans le cas de la vente d'un objet volé, la transaction a été déclarée invalide et l'acheteur a perdu son argent) ; troisièmement, la transaction doit être conclue en présence de témoins (dans les cas nécessaires, eux seuls pourraient confirmer sa légalité).

Les contrats de location (42, 44, 62, 63) pour les terrains et les jardins étaient de courte durée. La période la plus optimale et la plus courante est de 1 an. Il était également possible de la prolonger jusqu'à 5 ans si le locataire prend sur lui la responsabilité d'augmenter la végétation du jardin. La location des champs et des jardins pouvait être effectuée à la fois contre une certaine rémunération convenue à l'avance et pour une partie de la récolte des terres louées (les mauvaises récoltes n'exonéraient pas du paiement d'une rémunération). Babylone pratiquait également l’embauche de citoyens libres. En règle générale, il s'agissait de tisserands, de maçons, de tanneurs, etc. Le paiement de la main-d'œuvre était effectué à l'expiration de la période d'embauche. En cas de cessation de travail anticipée, aucune indemnité n'a été versée.

Accord de prêt. Le juge protège le débiteur et les membres de sa famille des traitements cruels infligés au créancier et de la saisie arbitraire des biens du débiteur (113, 116). Le Code de droit offre également aux débiteurs divers avantages en cas d'inondation, de tempête ou de manque d'eau (48). Il existe également d'autres avantages (96) - si le débiteur ne peut pas rembourser la dette contractée, par exemple avec du grain ou de l'argent, le Code de loi lui permet de rembourser la dette avec tout autre bien. L'intérêt du prêt est de 33 % maximum pour les céréales et de 20 % pour l'argent.

Contrat de stockage (bagages). De l'argent, des documents, des esclaves, des céréales, etc. étaient confiés en lieu sûr. Cet accord devait être conclu devant témoins. L'ancienne Babylone connaissait également les obligations de causer du tort : causer des dommages aux structures d'irrigation (53-55) ; faire paître le bétail dans le champ d'autrui sans le consentement du propriétaire (57, 58) ; abattre des arbres dans le jardin de quelqu'un d'autre (59) ; causant des lésions corporelles, meurtre involontaire d'un esclave (206, 208, 214).

Droit du mariage et de la famille. Le mariage était officialisé par un accord entre le futur mari et le père de la mariée. Dans le cas contraire, le mariage était considéré comme invalide (128). Habituellement, le marié donnait une rançon au père de la mariée (tirhatu), mais à l'époque d'Hammourabi, c'était déjà une condition facultative du contrat de mariage (193) et un cadeau de mariage qui était offert à la famille de la mariée (biblo). De son père, la mariée a reçu une dot - sheriktu (elle a été transférée au marié, bien qu'elle ait un régime juridique indépendant).

En règle générale, la dot était supérieure au paiement de la rançon ; après l'avoir reçu, la fille n'a plus participé à l'héritage des biens de son père après son décès ; la dot reçue à l'occasion du mariage devient la propriété de la femme, mais passe à l'usage du mari ; après le décès de la femme, il passe à ses enfants ; en l'absence d'enfants, la dot est restituée au père du défunt avec obligation de restituer la rançon au mari du défunt ; la dot est restituée à l'épouse en cas de décès du mari (171, 172) ; en cas de divorce à l'initiative du mari, si le motif du divorce n'est pas le comportement répréhensible de la femme (dans ce dernier cas, la dot reste acquise au mari) ; en cas de divorce par faute du mari (142) ;

Le mariage est né de la conclusion d'un contrat. Par conséquent, une femme était considérée comme une personne relativement indépendante, à laquelle se voyait confier certaines responsabilités en vertu du contrat de mariage. Si le marié refusait de se marier, il perdait le paiement de la rançon et le cadeau de mariage au profit de la famille de la mariée. Si, pour une raison quelconque, le père refusait d'épouser sa fille, il rendait tout ce qu'il avait reçu au double du montant. Une femme mariée avait les droits suivants : conclure librement des transactions immobilières ; s'adonner au commerce, à l'artisanat et à l'usure ; disposer des biens après le décès du mari jusqu'à ce que les enfants atteignent l'âge adulte ; disposer des biens reçus du mari en cadeau ; pour protéger l'honneur et la dignité.

La famille était patriarcale. Tous les membres de la famille dépendaient du père. La principale forme de mariage est la monogamie. Cependant, un mari peut se remarier et laisser sa première femme dans la maison même comme esclave. Le mari avait le droit de divorcer si : la femme ruine la maison et néglige son mari. Le mari avait aussi le droit : si sa femme était sans enfant, d'amener une concubine dans la maison (la femme avait le droit de la choisir parmi ses esclaves), de prendre une seconde épouse dans la maison si la première souffrait de maladie , mais n'avait pas le droit de quitter sa femme malade (la femme a le droit, après avoir pris une dot, de retourner dans la maison de son père).

La liberté de divorcer est conditionnelle car le divorce est possible à tout moment pour un mari et difficile pour une femme. Elle n'a le droit de demander le divorce que dans des cas exceptionnels : en cas d'accusation d'adultère non prouvée ; en cas de violation de la fidélité du mari et de négligence envers elle en tant qu'épouse ; si le mari quitte la maison ; si le mari prend une concubine dans la maison et que la femme souffre d'une maladie.

Le mari a un pouvoir important sur sa femme. Il peut même la mettre en servitude en paiement de ses dettes, même si elles sont nées avant le mariage. Bien que dans de tels cas, la femme puisse se protéger en stipulant les termes du contrat de mariage. Quant aux dettes contractées pendant le mariage, les deux époux en sont responsables, mais le mari a toujours le droit de vendre sa femme en servitude. Une femme a le droit de se remarier si son mari est capturé, à condition qu'elle n'ait aucun moyen de subsistance. Si son mari revient de captivité, elle est obligée de revenir vers lui. Une veuve avec de jeunes enfants n'a pas le droit de se remarier sans l'autorisation du tribunal.

Le principal groupe de normes du droit pénal est celui des crimes contre la personne. Le juge les classe comme suit : meurtres intentionnels et non intentionnels ; causer des lésions corporelles (les blessures involontaires lors d'une bagarre exonèrent une personne de toute responsabilité) ; insulte en paroles et en actions; porter de fausses accusations ; calomnie malveillante.

Le deuxième groupe est représenté par les délits contre la propriété : vol et vol qualifié ; dommages ou destruction des biens d'autrui ; fraude. Les grands palais et temples bénéficiaient d'une protection particulière de la loi (toute atteinte à ces biens était punie soit de la peine de mort, soit d'une amende de 30 fois le montant).

Le troisième groupe comprenait les crimes contre la famille et la moralité : l'inceste (relation entre mère et fils, père et fille) ; adultère (uniquement de la part de la femme) ; râpé; vol d'enfants; enlèvement d'une femme mariée. Des délits que l'on peut qualifier de militaires (par exemple le pillage) et officiels (par exemple la corruption d'un juge) sont évoqués.

Dans le système punitif, la peine de mort vient en premier, qui est utilisée sous diverses formes : noyade, brûlage, enfouissement dans le sol, les châtiments d'automutilation étaient répandus (couper une main, des doigts, couper une oreille, une langue). Les châtiments corporels étaient également pratiqués (coups de fouet, imposition de marques de déshonneur, etc.), et les amendes étaient courantes, qui remplaçaient progressivement les vendettas.

Le processus judiciaire n'était pas strictement réglementé et reposait sur la coutume. Le règlement s'effectuait publiquement, en présence de la communauté, le plus souvent sur la place du temple. L'ouverture de l'affaire a été effectuée, en règle générale, par une personne privée. Mais en cas d'attentat contre la propriété d'un palais ou d'un temple, l'initiative d'engager une procédure pourrait revenir à une agence gouvernementale.

Les parties elles-mêmes ont rassemblé des preuves et les ont présentées au tribunal. Les preuves étaient : des témoignages (ils étaient accompagnés de serments religieux) ; toutes sortes de documents écrits (confirmant ou infirmant le fond de l'accusation) ; épreuves - le jugement de Dieu ; en règle générale, il s'agissait d'un test à l'eau et il ne ressort pas clairement des documents : qui était coupable - celui qui s'est noyé ou vice versa ;

Le processus s'est terminé par la délivrance d'un document judiciaire, que le juge n'avait plus le droit de modifier. Les condamnations à mort ou à l'automutilation ont été exécutées immédiatement. La loi de l’ancienne Babylone était assez progressiste pour l’époque et peut être considérée comme le système juridique le plus parfait de l’Orient ancien.

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Babylonie, ou royaume babylonien Un ancien royaume du sud de la Mésopotamie (le territoire de l'Irak moderne), né au début du IIe millénaire avant JC. e. et perdit son indépendance en 539 avant JC. e.. La capitale du royaume était la ville de Babylone, d'où elle tire son nom. Le peuple sémitique des Amoréens, fondateurs de la Babylonie, a hérité de la culture des royaumes précédents de Mésopotamie - Sumer et Akkad. La langue officielle de la Babylonie était la langue akkadienne sémitique écrite, et la langue sumérienne, sans rapport avec elle, qui est tombée en désuétude, a longtemps été préservée comme langue de culte.

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Babylone La ville de Babylone a été fondée dans l'Antiquité sur les rives de l'Euphrate. Son nom signifie « Porte de Dieu ». Babylone était l'une des plus grandes villes du monde antique et était la capitale de la Babylonie, un royaume qui a duré un millénaire et demi, puis le pouvoir d'Alexandre le Grand.

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Ancienne période babylonienne L'ancienne Babylone est née sur le site de la plus ancienne ville sumérienne de Kadingir, dont le nom a ensuite été transféré à Babylone. La première mention de Babylone est contenue dans l'inscription du roi akkadien Sharkalisharri (XXIIIe siècle avant JC). Au 22ème siècle avant JC. e. Babylone a été conquise et pillée par Shulgi, le roi de l'État sumérien d'Ur, qui a soumis toute la Mésopotamie.

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Période babylonienne moyenne Sous le successeur de Hammurabi, Samsu-ilun (1749-1712 avant JC) en 1742 avant JC. e. Les tribus Kassites ont attaqué la Mésopotamie, formant plus tard l'État Kassite-Amorite de Khan, qui au 16ème siècle avant JC. e. contrôlait la majeure partie du pays. Le nom officiel de l’État kassite était Karduniash. Ses rois aux XVe-XIVe siècles. avant JC e. possédait de vastes territoires de la basse vallée de l'Euphrate, de la steppe syrienne - jusqu'aux frontières des possessions égyptiennes du sud de la Syrie. Le règne de Burna-Buriash II (vers 1366-1340 av. J.-C.) fut l'apogée du pouvoir kassite, mais après son règne commença une période de 150 ans de guerres babyloniennes-assyriennes. La dynastie Kassite fut finalement vaincue par les Élamites vers 1150 avant JC. e.

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Période néo-babylonienne Babylone a atteint sa plus grande prospérité pendant la période du royaume néo-babylonien (626-538 avant JC). Sous Nabuchodonosor II (604-561 avant JC), de nouveaux bâtiments riches et de puissantes structures défensives apparurent à Babylone.

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« ... Babylone a été construite ainsi... Elle s'étend sur une vaste plaine, formant un quadrilatère dont chaque côté mesure 120 stades (21 312 m) de longueur. La circonférence des quatre côtés de la ville est de 480 stades (85 248 m). Babylone n’était pas seulement une très grande ville, mais aussi la plus belle de toutes les villes que je connaisse. Tout d'abord, la ville est entourée d'un fossé profond, large et rempli d'eau, puis il y a un mur de 50 coudées royales (persanes) de largeur (26,64 m) et de 200 coudées de hauteur (106,56 m). La coudée royale est 3 doigts plus grande que d'habitude (55,5 cm)... Hérodote à Babylone

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Les jardins suspendus de Babylone sont l'une des sept merveilles du monde. Les jardins suspendus de Babylone, également connus sous le nom de jardins suspendus de Babylone, sont l'une des sept merveilles du monde. Malheureusement, cette merveilleuse création architecturale n’a pas survécu jusqu’à nos jours, mais son souvenir perdure.

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Jardins suspendus de Babylone La date de la destruction des jardins de Babylone coïncide avec l'époque du déclin de Babylone. Après la mort d'Alexandre le Grand, la ville de conte de fées tomba en ruine, l'irrigation des jardins cessa, à la suite d'une série de tremblements de terre les voûtes s'effondrèrent et l'eau de pluie éroda les fondations. Mais nous allons quand même essayer de raconter l'histoire de cette structure grandiose et de décrire tous ses charmes.

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Tour de Babel La Tour de Babel, qui à cette époque n'était qu'un miracle de la technologie, a fait la gloire de sa ville. Babylone, connue dans l'Ancien Testament, a été entièrement détruite à trois reprises au cours de ses trois mille ans d'histoire et à chaque fois renaît de ses cendres jusqu'à ce qu'elle tombe complètement en décadence sous la domination des Perses et des Macédoniens aux 6e et 5e siècles. siècles avant JC.

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La Tour de Babel La légende biblique était dédiée à la Tour de Babel. Selon cette légende, après le Déluge, l’humanité était représentée par un seul peuple parlant la même langue. De l’est, les gens sont venus au pays de Shinar (dans le cours inférieur du Tigre et de l’Euphrate), où ils ont décidé de construire une ville (Babylone) et une tour haute jusqu’au ciel afin de « se faire un nom ». La construction de la tour a été interrompue par Dieu, qui a créé de nouvelles langues pour différentes personnes, à cause desquelles ils ont cessé de se comprendre, n'ont pas pu continuer la construction de la ville et de la tour et ont été dispersés sur toute la terre.

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Mathématiques babyloniennes Les Babyloniens écrivaient en caractères cunéiformes sur des tablettes d'argile, qui ont survécu en grand nombre jusqu'à nos jours (plus de 500 000, dont environ 400 sont liées aux mathématiques). Nous avons donc une compréhension assez complète des réalisations mathématiques des scientifiques de l’État babylonien. A noter que les racines de la culture babylonienne ont été largement héritées des Sumériens – écriture cunéiforme, techniques de comptage, etc.

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Mathématiques babyloniennes Chiffres hexadécimaux babyloniens Les Sumériens et les Babyloniens utilisaient un système de nombres hexadécimaux, immortalisé dans notre division du cercle en 360°, de l'heure en 60 minutes et de la minute en 60 secondes. Ils écrivaient, comme nous, de gauche à droite. Cependant, l'enregistrement des 60 chiffres requis était particulier. Il n'y avait que deux icônes pour les nombres, notons-les E (unités) et D (dizaines) ; plus tard, une icône pour zéro est apparue. Les nombres de 1 à 9 étaient représentés par E, EE,…. Viennent ensuite D, DE, ... DDDDDEEEEEE (59). Ainsi, le nombre était représenté dans le système positionnel 60 et ses 60 chiffres dans le système décimal additif.

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Écriture Le système d'écriture connu le plus ancien est l'écriture sumérienne, qui s'est ensuite développée en écriture cunéiforme. Le cunéiforme est un système d'écriture dans lequel les caractères sont pressés avec un bâton de roseau sur une tablette d'argile humide. Le cunéiforme s'est répandu dans toute la Mésopotamie et est devenu le principal système d'écriture des anciens États du Moyen-Orient jusqu'au 1er siècle. n. e. Une icône en forme de coin capture un concept général (trouver, mourir, vendre), et le système d'icônes supplémentaires est uniquement lié à la désignation d'une certaine classe d'objets. Par exemple, il existe une icône indiquant un animal prédateur : lorsqu'il l'utilise dans un texte utilisant des icônes, l'auteur indique qu'il s'agissait d'un animal prédateur spécifique : lion ↓↓ ou ours.

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Culture de la Mésopotamie De nombreuses sources témoignent des hautes réalisations astronomiques et mathématiques des Sumériens, de leur art de la construction (ce sont les Sumériens qui ont construit la première pyramide à degrés au monde). Ils sont les auteurs du plus ancien calendrier, livre de recettes et catalogue de bibliothèque.

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Culture de la Mésopotamie Le royaume babylonien (en fait, le vieux babylonien) unissait le nord et le sud - les régions de Sumer et d'Akkad, devenant ainsi l'héritier de la culture des anciens Sumériens. La ville de Babylone a atteint l'apogée de sa grandeur lorsque le roi Hammourabi (règne de 1792 à 1751 avant JC) en a fait la capitale de son royaume.

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Culture de Mésopotamie Les Babyloniens ont introduit le système de numérotation positionnelle, un système précis de mesure du temps, dans la culture mondiale ; ils ont été les premiers à diviser une heure en 60 minutes et une minute en 60 secondes, ont appris à mesurer l'aire des figures géométriques , distinguent les étoiles des planètes et consacrent chaque jour au système de sept jours qu'ils ont « inventé ». Des semaines à une divinité distincte (les traces de cette tradition sont conservées dans les noms des jours de la semaine dans les langues romanes). Les Babyloniens ont également laissé à leurs descendants l’astrologie, la science du lien supposé entre les destinées humaines et la localisation des corps célestes. Tout cela est loin d’être une liste complète de l’héritage de la culture babylonienne dans notre vie quotidienne.

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Architecture Il y a peu d'arbres et de pierres en Mésopotamie, c'est pourquoi le premier matériau de construction était des briques de terre crue fabriquées à partir d'un mélange d'argile, de sable et de paille. La base de l'architecture de la Mésopotamie est constituée de bâtiments et de bâtiments monumentaux laïques (palais) et religieux (ziggourats). Les premiers temples mésopotamiens qui nous sont parvenus remontent aux IVe-IIIe millénaires avant JC. e. Ces puissantes tours de culte, appelées ziggourat (montagne sainte), étaient carrées et ressemblaient à une pyramide à gradins. Les marches étaient reliées par des escaliers et le long du mur se trouvait une rampe menant au temple. Les murs étaient peints en noir (asphalte), blanc (chaux) et rouge (brique).

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Architecture La caractéristique de conception de l'architecture monumentale remontait au 4ème millénaire avant JC. e. l'utilisation de plates-formes érigées artificiellement, qui s'explique peut-être par la nécessité d'isoler le bâtiment de l'humidité du sol, humidifié par les déversements, et en même temps, probablement, par la volonté de rendre le bâtiment visible de tous les côtés . Un autre trait caractéristique, basé sur une tradition tout aussi ancienne, était la ligne brisée du mur formé par les saillies. Les fenêtres, lorsqu'elles étaient réalisées, étaient placées au sommet du mur et ressemblaient à des fentes étroites. Les bâtiments étaient également éclairés par la porte et le trou dans le toit. Les toits étaient pour la plupart plats, mais il y avait aussi une voûte.

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Architecture Les bâtiments résidentiels découverts lors de fouilles dans le sud de Sumer possédaient une cour intérieure ouverte autour de laquelle étaient regroupées des pièces couvertes. Cette disposition, qui correspondait aux conditions climatiques du pays, constituait la base des bâtiments palatiaux du sud de la Mésopotamie. Dans la partie nord de Sumer, des maisons ont été découvertes qui, au lieu d'une cour ouverte, avaient une pièce centrale avec un plafond.

Sujet : Babylone antique

Objectifs de la leçon:

éducatif: les étudiants se familiarisent avec les lois du roi Hammourabi ;

développement: apprendre à analyser des documents, généraliser, tirer des conclusions ;

éducatif: se rendre compte de la nécessité de l'existence des lois, un sentiment de responsabilité pour leur violation se forme et une idée de lois justes et injustes se forme.

Pendant les cours :

JE. Org. moment.

Salutations! Contrôle de l'humeur !!!

Professeur: Aujourd'hui, nous continuerons à étudier la Mésopotamie antique en tant que l'un des États du monde antique. Mais pour cela, rappelons-nous...

II. Actualisation des connaissances nécessaires.

Pourquoi ce pays s’appelait-il Mésopotamie ?

Synonyme de Mésopotamie? (Interfluve)

Caractéristiques des conditions naturelles ? (pas de montagnes, pas de pierres à bâtir, de forêts, la terre est fertile, crues rapides des rivières, argile)

Pourquoi a-t-on construit des digues le long des rivières ? (les récoltes dans les champs n'ont pas été emportées)

Pourquoi ont-ils creusé des canaux ? (pour l'irrigation des champs et des jardins)

III. Apprendre du nouveau matériel.

Sl.2 Professeur: Les villes de Mésopotamie se sont longtemps battues entre elles pour savoir laquelle d'entre elles devrait être aux commandes. Et Babylone a gagné ce combat, sous le règne duquel toute la Mésopotamie était unie. D’après le nom de la ville, tout cet ancien pays s’appelle Babylonie. Babylone est située sur les rives de l’Euphrate, là où les deux fleuves se rapprochent l’un de l’autre. Ici se trouvait le carrefour des routes fluviales et terrestres.

Sl.3.

Les rois de Babylone se sont enrichis grâce au commerce. Le roi le plus puissant et le plus célèbre de Babylonie était Hammourabi.

Niveau 4

Niveau 5 Les dates de son règne sont 1792-1750. avant JC e.

Calculez combien d'années il a régné ? (42 ans)

Durant son règne, il réussit à conquérir toute la Mésopotamie du Sud et la quasi-totalité de la Mésopotamie du Nord.

Regardez la carte : ce sont les frontières du royaume babylonien sous Hammourabi(les élèves trouvent ce royaume sur la carte dans le manuel p.35).

Sl.6 . En 1901, à Suse, les archéologues ont découvert un pilier en pierre noire de plus de 2 m de haut. Dans la partie supérieure, le pilier est arrondi et décoré d'un relief avec deux figures - le dieu du soleil et de la justice est assis sur le trône. Shamash, et Hammurabi se tient respectueusement devant lui. Dieu remet au roi les signes du plus haut pouvoir judiciaire - une verge et un cerceau.

Sl.7.

Sl.8. Au bas et à l'arrière du pilier se trouve un long texte cunéiforme gravé, qui s'est avéré être une source historique très importante. En étudiant les lois d'Hammourabi, les scientifiques ont beaucoup appris sur la vie des gens il y a plus de 37 siècles.

Hammurabi était un dirigeant intelligent et énergique. Il se souciait de la prospérité du royaume. Il était fier d'avoir construit des temples dans toutes les villes sous son contrôle, construit des canaux pour qu'il y ait suffisamment d'eau dans les champs. Le roi cherchait à garantir que tous les résidents du pays vivaient selon les mêmes lois. C'est pourquoi Hammourabi a établi des lois uniformes pour tout le royaume babylonien.

? Selon vous, que sont les lois ?

Sl.9 Écrivons : les lois sont des règles obligatoires pour tous les résidents du pays.

Niveau 10 Shamash, dieu du Soleil et du procès équitable : il tend au roi un bâton, signe de pouvoir. Il s'avère qu'Hammourabi gouverne et juge selon la volonté de Dieu. L'inscription sur le pilier de pierre d'Hammourabi dit que les lois doivent établir la justice dans le pays afin que les forts n'oppressent pas les faibles. Le roi cherchait à garantir l’ordre et l’absence d’arbitraire dans le royaume babylonien. Cela signifiait qu'à partir de maintenant, les juges devaient strictement respecter la loi, et ne pas agir à leur guise, ni être volontaires.

Premier groupe reçoit un texte avec les articles de lois suivants et remplit le tableau « Économie du royaume babylonien à l’époque d’Hammourabi ».

"7. Si une personne achète de la main du fils d'un homme (un résident à part entière du royaume babylonien) ou de la main d'un esclave d'un homme sans témoins et sans contrat, ou prend en lieu sûr de l'argent, ou de l'or, ou un bœuf, ou un esclave, ou une esclave, ou une brebis, ou un âne, ou quoi que ce soit, alors cet homme est un voleur, il devrait être tué.

42. Si une personne loue un champ pour le cultiver et n'y cultive pas de céréales, elle doit alors être convaincue du fait qu'elle n'a pas effectué les travaux nécessaires dans le champ et elle doit donner au propriétaire du champ des céréales, comme ses voisins.

53. Si une personne est trop paresseuse pour renforcer le barrage de son champ, et du fait que le barrage n'a pas été renforcé par lui, une brèche se produit dans son barrage et les terres cultivées de la communauté sont inondées d'eau, alors celui chez qui la rupture s'est produite doit compenser le pain qu'il a gâché.

55. Si une personne a ouvert son fossé pour l'irrigation, mais a été négligente et que l'eau a inondé le champ de ses voisins, alors elle doit mesurer le grain en fonction de la récolte de ses voisins.

233. Si un constructeur construit une maison pour un homme et ne renforce pas son ouvrage, de sorte que le mur s'effondre, alors ce constructeur devra réparer le mur avec son propre argent.

274. Si une personne embauche des artisans, alors le salaire de... un briquetier... le salaire d'un tisserand... le salaire d'un tailleur de pierre... le salaire d'un charpentier... le salaire d'un tanneur... le salaire d'un charpentier.. ... le salaire d'un vannier... le salaire d'un maçon... il doit donner par jour.

Branches de l'économie	Exemples de lois Hammourabi
Agriculture: lequel Avez-vous cultivé des cultures ?
Élevage de bovins: quoi Les animaux ont-ils été élevés ?
Artisanat: lequel métiers d'art étaient connus ?

Questions supplémentaires: qu'as-tu appris sur l'agriculture ? Quel genre de travail les lois encourageaient-elles ? Pourquoi les lois royales se préoccupaient-elles autant du système d’irrigation ?

Sl.11 Zaffectation : découvrez de qui était composée la Société de l'ancienne Babylone

(p. 34-35)

Sl.12 (roi, nobles, fonctionnaires, prêtres, armée, personnes libres (communautés), esclaves)

Sl.13 Le roi babylonien avait un pouvoir illimité

Sl.14

Niveau 15 . Chaque ville de Babylonie avait son propre patron céleste – un dieu ou une déesse. Le culte de nombreux dieux s'appelle le paganisme

Sl.16

Sl.17 Dieux de Babylone

Sl.18 Au centre de chaque ville se trouvait un temple. Les temples ressemblaient à de hautes tours à gradins et étaient appelés ziggourats.

Sl.19-20

Sl.21 nouveaux mots

Sl.22 D/Z : paragraphe 11, cahier d'exercices, p. 22 (1-4)

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Hammourabi était un roi babylonien qui régna de 1792 à 1750 avant JC.

Combien d'années Hammourabi a-t-il régné ?

Combien d’années se sont écoulées depuis le début de son règne jusqu’à nos jours ?

LOIS D'HAMMURABI

Un pilier de basalte noir avec le texte « Lois » a été découvert en 1901-1902. Archéologues français à Suse (la capitale de l'ancienne Elam).

Hammourabi prétendait avoir pris le pouvoir

des dieux.

Shamash du Soleil donne une verge à Hammourabi -

un signe de pouvoir sur les gens.

LOIS - RÈGLES OBLIGATOIRES POUR TOUS LES RÉSIDENTS DU PAYS

EXERCICE: DÉCOUVREZ DE QUI SE CONSTITUAIT LA SOCIÉTÉ DE L’ANCIENNE BABYLONE (PAGE 34-35)

SOCIÉTÉ DE L'ANCIENNE BABYLONE

TSAR

fonctionnaires

prêtres

nobles

armée

Personnes libres (membres de la communauté)

DES ESCLAVES

LE ROI DE BABYLONE AVAIT UN POUVOIR ILLIMITÉ

Selon lui

commande

ont été effectués

chaînes

Nommé

dirigeants

villes et

Régions

Tsar

Dirigé

armée

Cette forme de gouvernement s'appelle :

Despotisme - pouvoir illimité du dirigeant

DIEUX ET TEMPLES DE MÉSOPOTAMIE

Le dieu principal de Babylone était MARDUK, le dieu patron de la ville de Babylone, la divinité suprême du panthéon babylonien.

Prêtre babylonien devant un autel avec les symboles de Marduk : un dragon et une lance. Impression de sceau.

• Shamash - Dieu du soleil
• Syn - dieu de la lune
• Chaque – dieu de l'eau
• Ishtar - déesse de la fertilité et de l'amour

DIEUX ET TEMPLES DE MÉSOPOTAMIE

Ziggourat – un temple-tour en forme de pyramide à gradins.

Ziggourat d'Etemenanki à Babylone (la soi-disant Tour de Babel). Milieu du 7ème siècle avant JC e. Reconstruction .

DIEUX ET TEMPLES DE MÉSOPOTAMIE

Ziggourat dans la ville d'Ur. Mésopotamie. Vers 2200-2000 avant JC À la fin de 3 mille avant JC. e. Le temple principal des villes de Mésopotamie devient la ziggourat - un temple sur plusieurs plates-formes. La ziggourat d'Ur, fouillée par l'archéologue anglais L. Woolley, atteignait 25 m de hauteur. Au sommet de la ziggourat se trouvait un petit temple dédié au dieu de la lune Nanna, le saint patron d'Ur.

DIEUX ET TEMPLES DE MÉSOPOTAMIE

Reconstruction de la ziggourat dans la ville d'Ur. Mésopotamie.

Temple - Ce maison pour les dieux

Prêtres - ce sont les serviteurs de Dieu

Paganisme – culte de nombreux dieux

Devoirs:

§onze; des questions,

Cahier d'exercices : page 22 (tâche 1-4)